Discuter:Enigme 500

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Je rajoute ici quelques éléments :

• PORTEE  (http://www.larousse.fr/encyclopedie/musdico/port%C3%A9e/169652): Ensemble de lignes horizontales et équidistantes servant de points de repère pour indiquer la hauteur des notes.

C'est à tort qu'on attribue à Guy d'Arezzo l'invention de la portée. Elle se fit par étapes successives. D'abord une seule ligne pour indiquer une note de référence, puis deux lignes de couleurs différentes pour le do et le fa (G. d'Arezzo), puis, quatre lignes (tradition conservée dans la notation du chant grégorien), puis cinq lignes et, même, six lignes (surtout en Angleterre au xviie s.). Notre portée s'est stabilisée à cinq lignes, ce qui semble correspondre le mieux à la perception visuelle humaine.

• clef (en lat. clavis) Clefs en musique : (http://www.larousse.fr/encyclopedie/musdico/clef/166855) Signe conventionnel attribué à une note définie, et qui, placé sur une ligne déterminée de la portée, indique la correspondance entre cette note et cette ligne.

• La clef de sol 2e (http://fr.wikipedia.org/wiki/Clef_(musique)#Affectation_traditionnelle) : Affectée aux sons aigus et à la mélodie en général, est au contraire celle dont l’usage est le plus répandu. C’est actuellement la clef de toutes les voix, excepté les voix graves masculines. Elle est utilisée par de nombreux instruments : violon, flûte, hautbois, clarinette, saxophone, trompette, main droite de la harpe et des instruments à clavier — piano, orgue, clavecin, etc. ainsi que par les instruments plus graves dans leur registre le plus aigu (violon alto, violoncelle).

• Strophes saphiques  (https://fr.wikipedia.org/wiki/Strophe_sapphique) : poème dont la métrique est 11.11.11.5

• Ut Queant Laxis en entier : (http://chantblog.blogspot.fr/2008/06/ut-queant-laxis.html)

Ut queant laxis resonare fibris Mira gestorum famuli tuorum, Solve polluti labii reatum, Sancte Iohannes!

Nuntius celso veniens Olympo te patri magnum fore nasciturum, nomen et vitae seriem gerendae ordine promit.

Ille promissi dubius superni perdidit promptae modulos loquelae; sed reformasti genitus peremptae organa vocis.

Ventris abstruso positus cubili senseras regem thalamo manentem, hinc parens nati meritis uterque abdita pandit.

Antra deserti teneris sub annis civium turmas fugiens, petisti, ne levi saltim maculare vitam famine posses.

Praebuit hirtum tegimen camelus, artubus sacris strofium bidentis, cui latex haustum, sociata pastum mella locustis.

Caeteri tantum cecinere vatum corde praesago iubar adfuturum; tu quidem mundi scelus auferentem indice prodis.

Non fuit vasti spatium per orbis sanctior quisquam genitus Iohanne, qui nefas saecli meruit lavantem tingere limphis.

O nimis felix meritique celsi nesciens labem nivei pudoris, prepotens martyr heremique cultor, maxime vatum!

Serta ter denis alios coronant aucta crementis, duplicata quosdam; trina centeno cumulata fructu te, sacer, ornant.

Nunc potens nostri meritis opimis pectoris duros lapides repelle asperum planans iter, et reflexos dirige calles,

ut pius mundi sator et redemptor mentibus pulsa luvione puris rite dignetur veniens sacratos ponere gressus.

Laudibus cives celebrant superni te, deus simplex pariterque trine, supplices ac nos veniam precamur: parce redemptis!

Code Morse

A propos des 2 et 4 dans le code :

En solfège, pour interpréter correctement une partition, il faut définir une base de temps. Cela se fait en inscrivant en tout début de MESURE deux chiffres, placés l'un sur l'autre. Par exemple :

2

4

... qui se lit "deux quatre". Le chiffre du haut indique le nombre d'unité de temps que comportera chaque mesure de la partition. Le chiffre du bas indique la valeur de l'unité de temps retenue (la "pulsation") :

1 pour la ronde (rare)

2 pour la blanche

4 pour la noire

8 pour la croche

La base étant "1" (la ronde), chaque nombre suivant représente une fraction de ronde : 1/2 1/4, 1/8 ... Donc "4" est deux fois plus court que "2". Et c'est pourquoi dans la chasse "4" représente le point, "2" représente le trait (contribution n°111008.0103 de Pur Esprit sur Lachouette.net)

Pour le code Morse, conventions de cadence (http://fr.wikipedia.org/wiki/Morse_%28alphabet%29#Repr.C3.A9sentation_et_cadence) :

• Le rythme élémentaire est donné par la durée du point, le « ti ». Il se note par un point « . ».
• Un « taah » est conventionnellement 3 fois plus long qu’un « ti ». Il se note par un trait horizontal « – ».
• L'espacement entre les « ti » et « taah » dans une lettre a la longueur d'un « ti ». Il se note par le passage d'un symbole à l’autre.
• L'espacement entre les lettres d’un mot a pour longueur un « taah » (3 « ti »). Il se note par un espace.
• L'espacement entre les mots est d’au moins 5 « ti » (7 recommandés14, comme ici). Il se note par une barre oblique « / ».

Les outils

• l'Architecte qui fit la cathédrale de Reims s'appelait Hugues Libergier et que "sur sa pierre tombale, il est représenté dans sa longue robe, muni des instruments de sa profession, l'équerre, le compas à branches croisées et la règle graduée" (contribution n°2945 de PapyMax sur Lachouette.net)